La presse PMU se développe proportionnellement à une forte demande et un nombre grandissant de joueurs, notamment depuis qu’ils peuvent jouer sur internet. Du pronostic à l’information sur l’actualité hippique, cette presse est en constante évolution et a tendance, elle aussi, à être de plus en plus proposée sur le web.
Quels sont les acteurs majeurs de la presse PMU ?
On peut nommer les grands classiques à l’image de Paris Turf, Paris Courses, Bilto ou encore Tiercé Magazine. Ces quotidiens sont édités depuis de très nombreuses années et, s’ils rencontrent un large public, ils sont amenés depuis quelques temps à évoluer pour se placer sur internet. Ils y trouvent de la concurrence avec des sites plus ou moins professionnels, tout le monde aujourd’hui s’improvisant pronostiqueur et journaliste sur internet.
Pourquoi cette évolution vers internet ?
La presse PMU cible aujourd’hui un public bien plus large. La physionomie des joueurs a changé avec l’avènement des paris en ligne. Les joueurs sont de plus en plus jeunes, il faut s’adapter à cette cible en communiquant différemment et de manière active. En outre, la presse hippique sur internet doit mettre à jour ses informations en temps réel, c’est une mine d’informations importante contrairement à la presse papier qui est plus figée. Ce n’est pas un hasard si les plus grands quotidiens proposent aujourd’hui une version numérique de leur journal. Les internautes peuvent télécharger le journal du jour, s’y abonner ou choisir de consulter le pronostic PMU en ligne. La presse PMU a fait un grand effort d’adaptation pour satisfaire les nouveaux joueurs. Et si l’on s’aperçoit que la presse papier se vend bien moins qu’auparavant avec le développement d’internet, on note tout de même qu’il reste un marché. Geny, l’un des leaders du pronostic et de la prise de paris en ligne a fait l’inverse et a créé, il y a quelques temps seulement, une version papier de ses pronostics quotidiens.
La presse hippique et les bookmakers
Il existe aujourd’hui des liens entre certains bookmakers et la presse hippique en ligne. Geny par exemple, a tout simplement développé son propre site de paris en ligne, Genybet. Paris Turf, la référence en matière de presse PMU, profite de sa grande notoriété pour glaner quelques euros en envoyant ses lecteurs vers des bookmakers. Aussi, en se rendant sur le site de Paris Turf, on s’aperçoit qu’il renvoie tout à la fois vers LEturf, PMU ou encore ZEturf. Bilto, quant à lui, a choisi d’orienter ses lecteurs vers LEturf uniquement. C’est également le cas de Tiercé Magazine et de Paris Courses. Un tel partenariat ne peut être qu’intéressant pour le bookmaker lié à la presse PMU.
On s’aperçoit finalement que la presse a évolué et s’est adaptée à son temps mais qu’au final, les principaux acteurs de la presse PMU restent les mêmes. Il y a bien des amateurs qui ouvrent leur site ou leur blog mais les journaux reconnus sont en réalité ceux qui ont acquis une notoriété depuis des années, qui travaillent avec de vrais journalistes et des pronostiqueurs chevronnés. Le tout a simplement été de s’adapter à la nouvelle prise de paris et aux joueurs du XXIe siècle.
Même si les revues spécialisées occupent toujours la première place, la presse PMU ne peut plus se faire aujourd’hui sans les correspondants locaux, comme dans le cas de la presse généraliste. Disposer d’amateur sur les hippodromes de régions permet de pouvoir remonter de l’info inédite qui est toujours très utile pour celui qui consulte la presse PMU pour faire son pronostic.
Il parait évident, que parier à la dernière serait la méthode la plus efficace, ainsi on évite de parier sur les non partants, mais dans notre cas, on joue uniquement sur Quinté plus, et on parie directement, donc dans les grandes cagnottes, on risque de se retrouver devant le kiosque fermé…
Ceci est vrai dans la mesure où les journaux guident les parieurs vers les chevaux gagnants et évitent d’engager des non-partants.Avec l’émergence des nouvelles technologies de communication la presse prend de plus en plus d’essor et occupe une place de choix .
Moi perso, j’ai pris l’habitude de faire mon papier avec mes journaux préférés en buvant mon café le temps de ma pause de 10h. Du coup à midi j’ai plus qu’à passer au pmu pour faire mon pronostic pmu. La presse pmu électronique c’est vraiment pas pour moi.
Le constat est a fait vrai en ce qui concerne le nombre de plus en plus grandissant des jeunes qui jouent au PMU au XXI siècle; ce qui exige des pronostiqueurs d’avant et de nos jours une adaptation aux différents systèmes de communications existants actuellement. Alors moi je pense que cela va de soit et ce que j’ajoute est que même s’il y a plein de pronostiqueurs présentement les anciens restent les leaders en matière de pronostics de qualité. voila pourquoi je ne travail qu’avec les pronostics des presses que vous avez cités.
Je constate par expérience que jouer au Pari Mutuel Urbain sans s’inspirer de la presse officielle,c’est aller vers l’échec.Surtout les grands magasines que vous avez cités dans vos articles sont pour nous d’une grade aide, car ils nous permettent de dénicher les gros tocards et le plus souvent les délaissés de la presse.
Pour moi la presse joue un grand rôle dans le choix des chevaux au moment de faire le papier.
La presse hippique est le vrai catalyseur des pronostics qui gagnent, car sans leur appui vous vous perdez dans des détails trop fugitifs.Je ne peux pas faire un pronostic sans auparavant jeter un coup d’œil sur les grands journaux de grands noms que vous avez cités.
Sans la presse hippique, jouer aux courses hippiques serait une grande aventure hasardeuse.Je préfère analyser la presse avant de faire mon papier.
Après une consultation régulière des pronostics gratuits sur le web,je constate qu’à côté des grands magasines hippiques,de nombreux non professionnels s’érigent en pronostiqueurs dans le seul but de faire passer la publicité sur leurs sites.Il est donc dans l’intérêt des turfistes de bien faire attention aux pronostics gratuits.